Quand Douala, véritable moteur économique et vivier artistique du Cameroun, et Strasbourg, pilier institutionnel de l’Europe et carrefour des cultures, joignent leurs forces, elles inaugurent bien plus qu’un simple festival : elles posent les fondations d’une coopération décentralisée inédite.

Héritage partagé
Grâce à leurs jumelages dynamiques — Douala avec Dunkerque, Strasbourg avec Fès et Ramallah — ces deux villes font de la diplomatie municipale un véritable laboratoire d’innovation sociale.

Dynamisme culturel

• Douala : entre le Salon Urbain de Douala (SUD), les résidences d’artistes, le break dance, le théâtre engagé et la bande dessinée, la métropole camerounaise déploie une créativité foisonnante.
• Strasbourg : avec sa Biennale d’Art Contemporain, son Parlement des Jeunes, sa scène hip-hop, sa danse contemporaine et ses documentaires cinématographiques, la ville alsacienne cultive un terreau culturel riche et diversifié.

Co-construction opérationnelle

• Réseaux artistiques croisés
  
  • Douala mobilise ses collectifs locaux et ses talents pluridisciplinaires.
  • Strasbourg fait appel à ses compagnies et créateurs européens.
• Savoir-faire logistique
  
  • Douala excelle dans l’organisation d’événements urbains participatifs.
  • Strasbourg s’appuie sur son expérience des projets transfrontaliers, notamment via le Conseil de l’Europe.
• Financements conjoints
  
  • Fonds municipaux, appels à projets  (Institut Français, AFD) et mécénat local soutiennent l’initiative.

Vision et impact
En unissant l’énergie créative et l’engagement citoyen de Douala à l’expertise européenne et à l’héritage humaniste de Strasbourg, « BÂTIR LE COMMUN » incarne un modèle de coopération équitable. Ici, l’art devient langage diplomatique et les habitants, architectes d’un avenir partagé, tissent des liens artistiques, économiques et mémoriels